Présentation
Le palissage est une technique agricole qui consiste à conduire une plante sur une structure en y attachant ses tiges et ses branches à l’aide de liens, dans le but d’en améliorer la qualité et le rendement. Cette technique est notamment utilisée dans les domaines de la viticulture, de l’arboriculture, mais intéresse aussi la production de houblon et certaines cultures maraîchères.
Pour maintenir une haie fruitière, des palmettes, des espaliers, ou toutes les autres formes fruitières, il faut utiliser un support assez conséquent pour les tenir, comme de solides poteaux et des fils horizontaux utilisées dans les vergers en production intensive.
Le système de tuteurage du verger palissé, constitue un investissement qu’il ne faut en aucun cas négliger. C’est le squelette qui soutient le poids de la récolte, année après année. Une récolte abondante signifie un poids lourd à soutenir, il faut prévoir un système fort et solide qui supportera la récolte maximale. De plus, mieux vaut prévoir le pire scénario, c’est-à-dire des vents violents, une chute de neige hâtive sur feuillage, du gel et du dégel.
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Résistance du palissage
Comme ces arbres ont peu de racines, il faut les accrocher sur un support, si non ils vont tomber et se déraciner. Au fil du temps, la végétation peut être très lourde et menacer la stabilité de l’ensemble du palissage.
Quand l’arbre est en feuilles et fruits, il forme un mur avec une prise au vent assez conséquente. Le palissage doit résister aux pires conditions météorologiques : vents violents, verglas, neige hâtive sur feuillage, froid intense ou pluie abondante.
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Pourquoi palisser ?
Le palissage recouvre plusieurs objectifs, le premier d’entre eux consiste à augmenter l’efficacité de la photosynthèse en optimisant la surface foliaire exposée aux rayonnements solaires. Entre une vigne qui rampe par terre et une plante palissée, la surface de feuille correctement exposée au soleil est très différente. De plus, le fait d’avoir une végétation orientée vers le haut laissant la place aux passages d’outils de travail du sol, de fertilisation ou de pulvérisation est un élément intéressant du palissage, surtout vue sous l’angle de la mécanisation. Enfin la facilité à appliquer les traitements phytosanitaires et la mise hors des zones gélives au printemps (gel de rayonnement) de la végétation sont des éléments non négligeables à porter au bénéfice du palissage.
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Le système avec tuteurs individuels
Le tuteur est en place pour la durée de vie des fruitiers et convient à une densité de plantation moyenne. Cette technique est très intéressante, car elle permet de se déplacer de chaque coté de la rangée, pour réaliser les différents travaux dans le verger.
Les rondins fraisés ou piquets en bois traités autoclave, conviennent particulièrement à la confection de ce tuteurage des arbres fruitiers. Les bois sont rabotés pour être parfaitement rectilignes et esthétiques. Ils sont très résistants et assurent une grande longévité.
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Les plantations à haute densité
Le système collectif est entièrement relié par des fils et soutenu par des poteaux. Lorsqu’on atteint une certaine densité d’arbres à l’hectare, + 1100 arbres/ha, le système collectif offre plus de soutien et est plus économique que le tuteur individuel. En mode de conduite fuseau hollandais, super fuseau, axe vertical, solaxe , hytec, en V,…, sont mieux servies par un système de palissage collectif avec poteaux d’ancrage et fils de soutien. Ce palissage est utiliser surtout dans les vergers de productions intensives, est mis en place pour la durée de vie des fruitiers.
Pour durer ainsi, le système doit être installé solidement, selon les règles de l’art, et faire l’objet d’un entretien régulier. À chaque printemps, il convient d’ajuster au besoin la tension des fils d’ancrage, d’enfoncer les poteaux qui ont levé durant l’hiver, de vérifier l’état des fils de soutien et d’attacher les fruitiers, qui le nécessitent.
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Comment palisser ?
Quelles que soient les cultures et les techniques, le palissage consiste à offrir un « squelette » propre à supporter et à orienter la croissance d’un végétal. Selon les traditions régionales, les caractéristiques et les contraintes agronomiques, il peut revêtir plusieurs formes. Pour ce qui est de la vigne, on peut citer la forme « guyot » simple ou double, la forme « cordon de Royat » ou « arcure » simple ou double aussi.
Le sol des vergers est souvent rocailleux et il arrive que le roc soit à fleur de terre. Ceci pose un solide défi à l’installation du système de tuteurage ! Il faut donc prendre les grands moyens et utiliser une pelle mécanique ou une perceuse à air pour enfouir les ancres et les piquets à la profondeur voulue.
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Avec quoi réaliser un palissage
Un bon système coûte cher d’installation, mais sa solidité et sa durabilité valent encore plus. Rien ne sert de dépenser inutilement, il faut comparer les coûts des différents éléments et choisir ce qui vous convient. Dans ce domaine comme ailleurs, il y a toujours place à amélioration et il ne faut pas hésiter à innover.
La base du palissage s’effectue en tendant des fils sur des piquets. Pour ce faire, on utilise des fils porteurs (qui supportent le poids de la végétation), des fils releveurs (qui sont relevés et accrochés sur les piquets au fur et à mesure de la croissance annuelle de la plante) des fils d’amarres (pour maintenir l’ensemble des piquets de tête et amarre), et des piquets qui sont soit de tête (en bout de rang) soit intermédiaires (piquets de rang). Ils ont dans les deux cas des fonctions et des caractéristiques différentes. Le piquet de tête solidarise l’installation avec le sol au moyen d’une amarre, alors que le piquet intermédiaire reprend la charge de l’installation existant entre deux piquets de rang. Les amarres, sont adaptées en fonction du type de sol, elles s’ancrent dans le sol pour tenir les charges de l’installation. Divers autres accessoires sont couramment utilisés dans la réalisation d’un palissage comme des tendeurs, des rehausses, des agrafes, des écarteurs, etc. Les équipements utilisés dans le palissage sont généralement fabriqués en matières naturelles comme le bois, le bambou, le métal, le béton,…, ou dans des matières plastiques : soit du polypropylène, du polyéthylène, des polyesters.
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Les choses à respecter
Quel que soit le support, il doit être adapté à la plante à tuteurer ou à palisser. Il faut veiller à ce que chacun soit bien ancré dans la terre de façon à résister au poids de la plante à mesure qu’elle se développe.
La solidité du système de tuteurage collectif dépend de trois éléments importants :
• L’ancrage des piquets de tête de ligne.
• La distance entre les poteaux.
• L’attache des tiges aux fils de soutien.
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L’ancrage des piquets de tête
Le point d’amarrage d’un système de tuteurage ou de palissage est la partie essentielle de la structure qui doit immanquablement être solide et résistante, car il sert de support à l’installation elle-même, mais aussi aux fruits en pleine croissance. Sans un système d’ancrage de bonne qualité, base essentielle de tout palissage, les conséquences peuvent être catastrophiques et endommager votre palissage. En vous assurant un ancrage solide aux extrémités, vous éviterez que les arbres plient sous la charge et vous préviendrez les pertes potentielles ainsi que le risque d’avoir à replanter toute votre culture.
Quel que soit le type de sols, il y a toujours une solution pour garantir un bon ancrage de votre palissage. Des sols les plus souples aux sols les plus compacts, il faut adapter les amarres à vos besoins et votre sol.
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Ancre à visser
Une ancre à visser est constituée d’une tige et d’une hélice, ou d’une spirale, qui se visse dans le sol. Lorsque l’effort est exercé sur l’ancre, le sol au-dessus de l’hélice se compacte et offre la résistance à la traction (théorie du cône d’extraction). L’ancre est fabriquée dans des matériaux haute résistance. (Galvanisé, zingué ou en inox)
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Une ancre à percuter
Une ancre à percuter permet un ancrage définitif pour terrains moyennement à fortement caillouteux, voire pour certains sols rocheux
Facile à installer et très solide, les ancres Gripple permettent de fixer un palissage avec un très fort point d’ancrage. Le kit est composé de :
Le kit est composé de :
– une ancre en alliage de zinc aluminium coulé
– savans soudure
– un câble en zinc aluminium de 1m de long, avec une boucle en sortie permettant de fixer le fil de palissage.
Pour faciliter l’installation, il est nécessaire d’utiliser l’outil de pose correspondant.
Ou trouver :
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- L’amarre FENOX, reconnue mondialement, est le concept d’ancrage le plus performant pour ses qualités d’ancrage performant et rapide à mettre en place. Facile de pose, avec un simple marteau, l’amarre fenox TM, avec ses 3 tiges déployables dans le sol, offre une résistance à l’arrachement incomparable. Universelle, elle s’adapte dans tous les types de terrains, même dans les sols durs et pierreux.
Ou acheter :
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Autres ancrages possibles
- Une ancre à pose rapide dans un trou.
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- Une ancre avec piquet en bois.
– Un poteau en cèdre ou en bois traité constitue un ancrage solide lorsqu’il est à 1 m dans le sol.
– Un piquet enfoncé est toujours plus solide qu’un piquet enterré.
– Pour les piquets d’extrémités, il faudra installer des jambes de force ou un ancrage correct.
Attention à ne pas installer le plot de béton de la jambe de force à l’emplacement des futurs fruitiers.
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La distance entre les poteaux
Plus les poteaux sont rapprochés, plus le palissage, sera solide. Un piquet enfoncé est plus solide qu’un piquet enterré. Une profondeur de 0,80m sous terre, évite le soulèvement causé par le gel.
La distance entre les poteaux varie selon la hauteur des fruitiers et le type de fil utilisé pour relier les arbres entre eux, mais ne devrait pas dépasser les 6 mètres. Plus les arbres sont hauts plus il doit y avoir de poteaux pour les soutenir.
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Les fils pour relier les poteaux entre eux
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Les fils et câbles acier galvanisés:
Comme pour les piquets, il y a deux paramètres à prendre en compte dans le choix du fil métallique : la nature de l’acier, qui assure sa résistance mécanique, et l’épaisseur de galvanisation, garante de sa durabilité. Parmi les fils métalliques, on a le choix entre les aciers doux, les aciers mi-durs ou durs (fils techniques) et les aciers inoxydables. Moins chers, les aciers doux offrent une faible résistance, de l’ordre de 50 kg/mm2, alors que les aciers durs oscillent autour de 80 kg/mm2. De ce fait, pour une même charge, le diamètre des fils et donc le poids de fils sera plus important.
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Les fils et câbles en inox:
Les fils en inox
Autre solution : le fil inox est, comme pour les piquets, très coûteux. Offrant une résistance de 130 kg/mm2, il ne se fait plus que dans quelques régions historiques ou dans les vignobles voulant à tout prix éviter les apports ferriques dans les blancs. Son taux d’allongement de 3 % en fait un fil sensible à la casse.
Les avantages du câble en inox
Le câble en inox est fait d’un acier inaltérable (l’inox). L’inox est issu d’un mélange de fer et de carbone auquel on a ajouté du chrome dans une proportion d’environ 12 %. Les câbles inox, de part leur utilisation, répondent à des critères de qualité réglementaires très poussés.
Le câble en inox présente de nombreux avantages. Son utilisation est extrêmement populaire tant dans l’industrie mécanique ou chimique que dans la médecine ou l’agroalimentaire. Effectivement, simple d’entretien, il ne craint absolument pas l’eau ni l’humidité. Au-delà, le câble en inox est un accessoire très résistant. De plus, le fait d’ajouter du chrome à l’acier, rend le câble invincible face aux risques de corrosion, ce qui est essentiel dans de nombreuses situations. La durée de vie du câble inox est extrêmement longue, son usure est quasi nulle, ce qui contribue évidemment à son succès.
Les différents câbles en inox
Il existe une quantité vraiment impressionnante de câbles inox. L’industrie à elle seule utilise des câbles inox avec de nombreux engins et outils, tels des palans, des treuils, des tirs fors, palissage etc. La traction et le levage requièrent des qualités de solidité, de résistance. Le câble en inox doit en effet être particulièrement fiable: ils sont d’ailleurs très utilisés dans les systèmes anti-chutes.
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Comment fixer les fils sur les poteaux de palissage ?
Ce support de fil en plastique, le clip Drahthalter a été conçu spécialement pour s’adapter à tout type de piquets, en métal, en béton, en bois, en Pvc, ….. Ce support de fil Drahthalter convient pour tous les fils entre 1,2 et 4mm.
A commander sur ce site :
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La mise en place du palissage pour les espaliers
Diversité de matériaux nécessaires pour l’installation d’une plantation en contre-espalier:
– Pour cultiver des fruitiers en contre-espalier ou en palmette, il faut créer intégralement la structure qui supportera les lattes, les treillage et les arbres. Le palissage doit donc impérativement être solide, durable et doit donc être pensée pour qu’elle dure toute la vie de l’arbre, soit au moins 50ans !
– Il est donc conseillé de choisir des matériaux durables. En ce qui concerne les poteaux, leur longueur doit être d’au moins 2 à 2,5 mètres hors-sol. Entre les poteaux, respectez un espacement inférieur à 6 mètres sinon les fils s’affaissent sous le poids des lattes, des treillages, des fruitiers.
– Si vous optez pour le bois, choisissez des bois denses comme le châtaigner ou le robinier d’un diamètre de 10 cm minimum
– Fixez-les au sol à l’aide d’une ancre à enfoncer dans le sol ou un plot en béton avec une patte métallique qui maintient le pied de tuteur hors-sol. Dans tous les cas, évitez les bois peu denses (épicéa, pins) en contact direct avec le sol.
– Une solution plus onéreuse mais plus durable consiste à utiliser des piquets en métal, peints ou galvanisés, formant un palissage solide mais très cher.
– Renforcer éventuellement l’encrage par un plot de béton.
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D’autres formes de palissage
Selon les traditions régionales, les caractéristiques et les contraintes agronomiques, le palissage peut revêtir plusieurs formes.
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Fabrication du palissage pour mes nouvelles formes fruitières
J’ai un faible et une passion pour les arbres palissés, que je veux développer dans les prochaines années. Le fait de créer, de maîtriser, d’innover ou d’inventer des formes fruitières est devenu pour moi un nouveau challenge unique dans un verger familial. J’ai déjà une quinzaine de palmettes et espaliers 2 D, et une dizaine de formes libres que je vais encore agrandir. Un nouvel espace de haies fruitières, avec des palmettes et espaliers en 2 D et un espace avec des formes en 3 D, verra le jour en 2014.
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Création du plan:
Avant de créer un verger palissé ou une plantation, il est conseillé de faire un plan, afin de déterminer l’emplacement des arbres fruitiers et la dimension du palissage. Mon projet se compose de deux rangées de 85 m de longueur et reliées par huit arches. Une rangée avec des espaliers et palmettes en 2D et l’autre rangée en 3D. La longueur est divisée en quatre compartiments de 20 mètres pour permettre le passage entre les rangées.
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Quelques objectifs, pour la réalisation de mon palissage :
- Mon palissage doit donc impérativement être solide, durable et sans entretien.
- Quelque chose d’unique, de beau et très décoratif dans mon verger.
- Très pratique, avec un passage entre les rangées, tous les 20 mètres.
- La construction doit donc être pensée pour qu’elle dure toute la vie de l’arbre, soit au moins 50 ans ( Il va survivre plus longtemps que moi)
- Mais le plus important, c’est de ne pas revenir trop cher. ( Je vais le construire avec des matériaux recyclés, car en neuf, c’est hors de prix)
J’ai donc envoyer fin 2013 un mail, à tous mes copains, pour acheter des poteaux, afin de réaliser ce nouveau projet un peu fou. (Des poteaux PTT ou lampadaire) Mais de nos jour, il n’y a plus beaucoup de chance, de trouver cela chez nous, à mon d’avoir des relations dans ce domaine. Sur le bon coin, j’en ai vu, mais à 900 km de chez moi, qui m’aurait couté 850€ de transport en plus.
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La solution de remplacement
Il ne faut jamais renoncer à un projet, car il y a toujours une solution. C’est grâce à Francis, Denis et Marc, qui m’ont aidé à trouver mon bonheur, en utilisant des barrières SNCF cassées, (de passage à niveau) et des poteaux de panneaux signalétiques (Renversés, dans une grande ville). Mais pour avoir des longueurs de 3,50 m, il a fallu attendre 10 mois et faire une dizaine de voyages, pour rassembler tous mes poteaux nécessaires. (Car les barrières ne cassent pas toujours au bon endroit)
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La préparation du terrain
J’aime bien, quand c’est droit et bien ordonné. Pour cela, j’utilise toujours des ficelles pour marquer l’emplacement de la future plantation. En automne, j’ai mis un désherbant, avant de commencer la plantation.
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Forage des trous
Pour le forage des trous pour les poteaux d’extrémités, j’ai dû fabriquer une nouvelle tarière de diamètre 175 mm. Comme toujours, c’est du solide et réalisé suivant ma taille. En attendant d’avoir mes poteaux, j’ai fait le forage des 16 poteaux d’extrémités. Avec le sol très humide, il fallait en profiter, pour faire les trous d’une profondeur d’un mètre. Heureusement que j’ai beaucoup de chance d’avoir une bonne terre, sans tomber sur des grosses pierres. Ce n’est pas si simple de tourner une tarière de 1,50m sur une profondeur de 1,20 mètre. Mais avec une terre gorgée d’eau, c’est plus facile et réalisé en 3 heures seulement.
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Ou acheter une tarière à spirale professionnelle ?
Idéal pour planter les haies, arbres, arbustes, piquets de clôture.
Ou acheter cette tarière :
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La pelle croisée pour trou de poteau
Cette pelle croisée professionnelle, vous permettra de creuser et de retirer facilement la terre, avec son action de ciseau, pour réaliser efficacement et rapidement des trous de poteaux. Surtout utilisé dans la terre, avec des cailloux ou des petites pierres, ou il est impossible de travailler avec une tarière.
Ou acheter cette pelle croisée :
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Utilisation de la pelle croisée en vidéo :
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Nettoyage des trous
Après une demi-heure, les trous se sont remplis entièrement avec de l’eau. Pour sortir l’eau du trou, j’ai pris une bouteille d’eau de 5 litres, fixée sur une tige filetée. Il suffit de mettre quelques trous et ça marche.
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Sortir le reste de boue
Pour sortir le reste de boue du fond, j’ai fabriqué une autre tarière, avec une vieille casserole. Elle me permet de bien racler le fond du trou, pour avoir une bonne stabilité de mes poteaux.
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Les conditions climatiques
Avec une année 2013 très humide (Cumul de précipitations à 1095 mm) et un début d’année 2014 pas beaucoup mieux, impossible de planter dans ces conditions. Ce n’est pas bon de faire la plantation si le sol est gorgé d’eau, car on risque l’asphyxie des racines dans un sol très humide, ce qui peut être le cas lorsque le sol est compacté lors de la plantation. Même si certaines plantes sont très tolérantes, les fruitiers en général, sont très sensibles aux sols trop humides et à l’humidité stagnante Plantez vos arbres fruitiers sur une butte, afin que les jeunes racines restent sèches.
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La préparation des poteaux d’extrémités
On commence a enlever les autocollants rouge sur les poteaux, en les chauffant au soleil, ou avec un sèche cheveux. Je vais laisser les autocollants réfléchissants gris pour rendre visible les poteaux la nuit, dès qu’une voiture passe. (C’est juste pour le plaisir)
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Mise en place des premiers poteaux d’extrémité
C’est au mois de mars 2014, que j’ai mis en place les 4 premiers poteaux du nouveau palissage. Il sont a une profondeur d’un mètre dans le sol et seront remplis avec du béton armé. Ils restent environ 2,50 à 2,65 mètres hors du sol, suivant les endroits.
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Préparation des armatures pour le béton armé.
Le béton est un matériau capable de supporter des efforts de compression importants (10 à 100 MPa1) alors que sa résistance aux efforts de traction est très faible (de l’ordre du dixième de sa résistance à la compression). C’est donc pour pallier cette insuffisance qu’il faut placer, dans les zones soumises à des efforts de traction, des barres d’acier (armatures) qui elles, sont résistantes aussi bien en compression qu’en traction.
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Disponible ici :
http://www.triangle-outillage.fr/liens-etiquettes/477-crochet-drilleur.html
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Remplissage des poteaux avec le béton
Qu’il serve de décoration ou d’élément porteur, la réalisation d’un poteau en béton armé demande beaucoup de prudence et d’habileté. Un bon coffrage est un élément incontournable lors du coulage du béton. C’est mes barrières qui vont servir de coffrage, nul besoin de se procurer des planches neuves. Il suffit de mettre quelques serre-joints, pour la consolider et ainsi résister à la pression du béton. En plus, la fibre de verre de la barrière, va protéger le béton des intempéries et ainsi durer plus longtemps.
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Mise en place des ancres
Pour fabriquer mes ancres, j’ai pu acheté du tube résistant à la SNCF, au prix de la ferraille. En plus, je vais insérer un petit tube dans le grand, pour avoir encore plus de résistance.
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Mise en place des ancres
Pour une bonne tenue, j’ai fait des trous de 1,20 m avec la tarière de 175 mm. Pour garantir une bonne tenue de mes ancres, j’ai encore rajouter des plots en béton armé, comme vous pouvez le voir sur les photos.
Car l’ancrage doit être à 100% résistant, pour maintenir mes poteaux en béton sans bouger d’un poil. Sans un système d’ancrage de bonne qualité, base essentielle de tout palissage, les conséquences peuvent être catastrophiques et endommager votre palissage.
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Fabrication des arches
Pour fabriquer mes arches, j’ai également acheté du tube très résistant à la SNCF, au prix de la ferraille. Il a un diamètre de 28 mm avec une épaisseur de 3,5mm, idéal pour mon projet. Mais pas facile pour trouver une cintreuse capable de cintrer cette épaisseur. Heureusement, que mon copain Laurent connaissait quelqu’un qui avait une vieille cintreuse dans sont garage. Avec les conseils d’Armand et la mise à disposition de sa machine, nous avons pu cintrer ces tubes suivant mon gabarit en quelques heures.
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Mise en peinture et montage des arches
C’est toujours un grand moment de joie et d’impatience, après tout ce travail, qui fait qu’on a encore plus de motivation à terminer, pour enfin voir le résultat. J’ai beaucoup de chance avec le temps cet automne, qui me permet de terminer mon palissage, dans des conditions exceptionnels, pour un mois de novembre.
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Mise en place des poteaux intermédiaires
Ces tubes galvanisés d’une longueur entre 3 m et 3,6 m et de diamètre 60 mm, sont idéale pour faire des poteaux de palissage. J’ai eu beaucoup de chance de trouver autant de ces poteaux, de cette qualité et à ce prix. N’oubliez pas de faire remonter le béton au niveau du pied du poteau à l’aide d’un petit coffrage (bouteilles en plastique ou tube PCV par exemple) pour éviter que le piquet ne rouille ou ne pourrisse à l’interface sol/air. Encore un mois de décembre exceptionnel, pour pouvoir terminer mon palissage.
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Les fournitures pour le palissage
C’est mon cadeau de noël de cette année, que je me suis commandé en Allemagne. (Hé oui, du travail pour noël) Pour ce palissage, je me suis fait plaisir, en choisissant des fournitures en inox, au lieu de prendre du galvanisé. La deuxième raison, c’est de garantir une longévité dans le temps, pour éviter de recommencer dans quelques années, comme avec un fil galvanisé qui va commencer à rouiller. J’ai également fais le choix de prendre du câble, ainsi que du fil, avec un enrobage plastifié blanc, pour limiter la dilatation en été et pour faire le lien entre mes poteaux blanc. Ce sera la vitrine de mon verger, donc il faut que le palissage soit unique et exceptionnel.
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Mise en place du câble d’encrage
J’ai mis en peinture les crochets de fixation du câble, juste pour faire plus joli, car ils sont en laiton et donc ne peuvent pas rouillés.
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Mise en place des capuchons de poteaux
Pour relier les poteaux entre eux, j’ai utilisé des capuchons blanc en alu, sur les poteaux intermédiaires, pour faire passer et maintenir le câble.
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Installation du câble porteur
C’est le câble qui va relier tous les poteaux entre eux et garantir la stabilité de toute la structure et ainsi maintenir les arbres, avec les pires conditions météorologiques. Avec ma construction, il faut installer tous les câbles, avant de mettre sous tension, car c’est un ensemble, qui est maintenu avec les deux ancrages extérieurs.
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Installation des fils de tension intermédiaire
J’ai utilisé à cet effet des tendeurs de M8 inox (de préférence qui ne rouillent pas). Le premier fil de soutien est généralement entre 30 et 50 cm du sol. Les autres sont échelonnés tous les 50 cm suivant la hauteur que l’on souhaite donner aux arbres formés. Quatre fils de soutien sont largement suffisants pour maintenir mes structures pour réaliser mes palmettes est espaliers.
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La suite des travaux
Il me reste à souder les 100 treillages, pour mes nouvelles formes et les mettre en place. Il faut installer les fils de tension, pour guider et fixer les treillages C’est le travail de cet hiver, afin de commencer la formation des arbres au printemps.
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Voir mes nouvelles formes fruitières en cours
Cliquer sur ce lien:
https://mapassionduverger.fr/
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Comment arquer pour former un arbre fruitier
Arquer les charpentières pour garantir une bonne structure de départ et pour réaliser votre forme fruitière choisie (L’arbre ne pousse, pas toujours comme on le voudrait) C’est pour cela qu’il faut faire une bonne formation initiale de votre arbre. C’est avec les tailles est les arcures, qu’on arrive à faire une bonne formation des fruitiers, dans les règles de l’art. Tout cela va équilibrer, renforcer, développer et embellir sa structure
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A voir sur cette page :
https://mapassionduverger.fr/taille-et-forme-fruitiere/comment-arquer-vos-arbres-fruitiers/
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Voir comment former un espalier ou une palmette
Cliquer sur ce lien:
https://mapassionduverger.fr/forme-fruitiere/comment-former-un-espalier-ou-une-palmette/
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Mon verger en vidéo :
Survol de mon verger qui, vu du ciel et avec le givre, dessinent les formes géométriques des mes arbres fruitiers.
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A voir sur cette page :
https://mapassionduverger.fr/mon-verger/une-petite-balade-dans-le-verger-givre/
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En espérant vous avoir donné de la motivation, des idées, du courage, du plaisir et du rêve.
Dans la vie, il faut toujours faire ce qu’on aime faire, avoir des nouvelles idées, réaliser ses projets, ses rêves et profiter de la vie au maximum.
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34 commentaires
Bravo Serge pour ce superbe travail. j’étais impatient de voir le résultat.Tu peux être fier du résultat.
merci pour le partage de tes astuces et de tes conseils.
Merci Yannick, c’était une année très chargée, mais je suis très content des résultats. J’ai un peu de temps pendant mes vacances de noël pour les mettre sur le blog. Ces nouveaux projets sont très motivants et vont me demander beaucoup de travail, mais quand on aime, on ne compte pas.
Bonjour SERGE,
je suis absolument bluffée de ce travail et surtout du résultat!!! cependant, une petite pointe de jalousie..j’ai réalisé des arceaux en les cintrant sur une jante de roue fixée sur une planche attachée sur remorque , une barre diam. inférieur rentrée dans le futur arceau, et 20cm par 20 cm… mon mari après 50ans de mariage, n’en revient toujours pas de ce qu’on peut faire en bricolant…je lui montre votre site, désespérément… je crois qu’il est un peu tard, mais je suis une grande optimiste, c’est ce que m’a appris la NATURE !!!! cordialement et bon courage pour 2015
Merci Françoise,
J’ai eu beaucoup de chance de trouver ces poteaux et la cintreuse pour faire mes arches. Si non, il faut le faire avec les moyens du bord, comme vous, en réalisant vos arceaux à l’aide d’une jante. Le résultat sera le même, mais donnera encore plus de plaisir et de satisfaction. Envoyez-moi une photo et bonne continuation pour 2015
Cordialement
Serge
Salut Serge,
Je pensais qu’il n’y avait plus de mise à jour de ton site (je n’ai pas trouvé de lien direct vers les dernières modif’?!?) et puis aujourd’hui je cherchais des idées pour le palissage de trois pêchers et je me suis dit que j’allais revisiter ton site. Et là je tombe sur la suite de ton projet de palissage… Woaw! Quel professionnalisme! Et merci pour toutes ces explications précises et documentées par les photos.
Félicitations pour le travail de 2014, meilleurs voeux et les meilleurs résultats pour 2015.
Olivier
PS : pour mes pêchers, je pense me diriger vers un candélabre à branches obliques convergentes, une palmette oblique ou une palmette à la diable (plus sûr) et un cylindre (vase droit).
Salut Olivier,
Chaque semaine, il y a des mises à jour sur certaines pages du site, suivant l’avancement des travaux et mon temps libre. (Mais, pas de lien direct) Mon objectif est de faire une ou deux nouvelles pages par mois. (Avec un lien direct, en bas de la rubrique, des dernières pages réalisées).
Cordialement et bon courage pour 2015
Serge
Salut Serge,
Je regarde ton site en espérant voir un petit aperçu de l’évolution de tes formes palissées, mais je désespère…
Quelques photos ce serait sympa.
Meilleures salutations
Olivier
Salut Olivier,
Je travaille sur la page, mais j’ai beaucoup de choses à faire en ce moment. Il faudra attendre mes congés au mois d’août, pour voir l’évolution des formes palissées.
A+
Serge
Bonjour,
Le résultat de votre travail est vraiment extraordinaire.
Je suis pour ma part un pure amateur de vieilles variétés de pommes.
J ‘ai planté une bonne soixantaine de pommiers un tiers en plein vent et le reste en gobelet.
Je ne suis pas très satisfait du résultat.
Les arbres plein vent au bout d ‘une vingtaine d ‘années vieillissent et produisent de moins en moins.
Les gobelets c ‘est un peu la même choses…
Je souhaiterais planter de nouveaux pommiers en haies….Que me conseilleriez -vous ? Planter des scions ? Les planter à 45 degrés? Je ne sais pas trop comment faire ? Pourriez-vous s’il vous plait m ‘aider ?
J ‘habite en vendée
D’avance je vous remercie si vous pouvez m ‘aider, et encore une fois permettez moi d ‘être très admiratif du travail que vous avez réalisé, c’est vraiment remarquable.
A bientôt peut être.
D. Croué
Bonjour Denis,
Merci pour ton encouragement à poursuivre, car j’ai encore beaucoup de choses en tête. Pour les soixante pommiers, tu as planté quoi comme porte-greffe ? Car si c’est du franc, les arbres ne sont pas au bout (jusqu’à 50 ans minimum) , même avec du MM106, on peut garder jusqu’à 30 ans. C’est qu’il manque de nutrition ou d’entretien, mais une bonne fumure et une bonne taille, tu peux rajeunir ces arbres. Si jamais tu souhaites planter de nouveaux pommiers en haie fruitière, je te conseille la plantation en axe, (http://mapassionduverger.fr/wp-content/uploads/2014/12/3_d821229219.jpg ) Pour plusieurs raisons, c’est facile à mettre en place, à former, à tailler et surtout très productif. Si tu as des photos, je peux me faire une petite idée, de la situation.
Cordialement
Serge
Tout à fait d’accord pour proscrire le franc, sauf si on met des vaches ou des chevaux en dessous. J’ai de très bons résultats en axe (type solaxe ou soléne mis au point pour les pros par l’équipe de Jean-Marie Lespinasse). Pour la pomme de table, je greffe sur du M26, un porte-greffe plus nanifiant que le MM106 (format idéal pour la pomme à cidre, que l’on ramasse tombée, mais trop grand et trop haut pour le fruitier à éclaircir et cueillir). Le M26 a besoin d’un tuteur de 2 m de long par arbre, sachant qu’on doit l’enterrer jusqu’à 1 m de profondeur, si on peut.
Merci beaucoup pour ce bel article, il est bien construit et très utile !!
Avec plaisir.
travail très remarquable. Bonne continuation Serge.
Merci Hassan
Bravo serge.
C’est un plaisir de voir votre passion se concrétiser.
Je suis admiratif.
Habiter vous loin de La Rochelle?
J’aimerais tellement vous rencontrer pour échanger car je vais bientôt avoir un jardin de 1500m2 et je n’ai que peu de connaissances.
Merci encore et à bientôt je l’espère.
Cordialement
Samuel
Bonjour Samuel,
Voici mon village : http://mapassionduverger.fr/presentation/
Cordialement
Serge
Bonjour, Félicitations, j’admire les idées, la ténacité, la passion. Je n’ai que 3 arbres palissés que je ne sais pas tailler correctement, je cherchais une solution pour installer 2 Kiwis dans mon petit jardin, vous m’en avez mis plein la vue ! Continuez à réaliser vos rêves.
Merci Michèle.
Bonjour Serge,
merci pour votre blog et la multitude d’informations que vous partagez, c’est très impressionnant! J’ai déjà trouvé beaucoup de réponses à mes questions, mais des interrogations subsistent et j’aimerais avoir votre avis….
J’ai un projet de haie fruitière, en limite de propriété (donc limité en hauteur à 2m), sur une longueur de 22m. Je voudrais principalement des pommiers et de la vigne, et j’envisage de mettre de petits arbustes (groseilliers, cassis, noisetiers…) entre les arbres. Dans l’idéal je voudrais mettre 5 à 6 pieds de vigne à 1m d’intervalle chacun. Ensuite je voudrais mettre 2 arbustes entre chaque pommier, une plantation tous les mètres. Est-ce que cela vous semble réalisable en terme de distances, et de composition arbre/arbuste?
J’ai sélectionné au conservatoire d’Aquitaine (je suis en région toulousaine) des variétés d’arbres locaux, peu sensibles à la tavelure et aux pucerons et peu vigoureux: est-ce le bon choix?
A ma disposition j’ai 2 types de porte greffe: M106 ou PI80 qui semble plus faible et peut-être plus adapté à ma hauteur maximale? qu’en pensez-vous?
Et enfin, quel type de formation est le plus adapté aux pommiers dans ce type de haie, et aussi quelle forme est la plus facile à mettre en oeuvre pour une amateure?
Merci d’avance,
Bien cordialement
Sandrine
Bonjour Sandrine,
Concernant les porte-greffes, tu as bien raison, le P 180 est plus faible que le MM 106. C’est un porte-greffe d’origine allemande et qui est de 30 à 35 % plus faibles que le MM 106. Donc encore trop fort pour faire un arbre de 2 m maxi.
Il faut plutôt utiliser le M9 Pajam 1 pour les variétés vigoureuses et le M9 Pajam 2 sur les variétés faibles.
Pour le choix des pommiers, c’est également le bon choix, peu sensible à la tavelure et aux pucerons et peu vigoureux. La forme la plus facile à réaliser pour toi, c’est la forme en axe, pas besoin de beaucoup de place, pas trop de taille, car il suffit d’arquer les branches, comme tu peux voir sur mon site. (surtout en Pajam)
Pour ceux qui est pour la plantation de la vigne, c’est bon, pour les pommiers en alternance avec des arbustes, c’est faisable, mais il faudra un bon tuteur par pommier, ou les mettre à côté des vignes et utiliser un palissage.(Attention au noisetier, 4 à 5 m de haut)
Voilà mon avis et bonne chance pour ton projet.
Cordialement
Serge
Bonjour Serge,
merci pour toutes ces précisions.
Bien cordialement
Sandrine
Super complet! une mine d’info ce site ;), merci pour le partage!
merci François
Bonjour Serge
comment faire pour mettre en place une ancre à visser pour les palissages ?
Bonjour Serge, j’ai une autre question:
On voit dans certains de vos palissages des poteaux en PVC. Sont-il remplis de béton et ferraillés ?
Les ancres à visser sont-elles suffisantes pour retenir un palissage de pommier d’une trentaine de mètre de long ? (poteau en chataigner de 3m dépassant de de 2.20m). Si oui, comment visse t’on l’ancre dans le sol ? En mettant un fer à béton dans l’anse de l’ancre ?
J’attends avec impatience, comme j’imagine tous les fans de votre blog, votre page sur la formation des pommiers en axes. Ce qui serait sympa en plus dans votre blog, c’est une rubrique ou chaque passionné pourrait faire découvrir des photos de son propre verger, qu’en pensez-vous ?
Par avance merci,
Christophe
Bonjour Serge,
Merci du tuyau pour la pépinière LEDERMANN MUTSCHLER.
Je viens de recevoir ce jour 1 scion cybèle, 1scion juliet, 1 rubinola et 1 topaz en M9 que je compte former en axe vertical. Très joli catalogue et large gamme de référence, sans compter leur grande gentillesse et leur professionnalisme. Je recommande à 1000%.
Je vais aussi commander quelques scions à la pépinière MUTIG’S à BRUMATH.
Bonjour Serge,
merci et félicitations pour ce travail magnifique et pour le temps passé à le documenter et à le partager!
Je suis à la recherche d’un fournisseur pour du fil inoxydable en 3 mm de diamètre. J’habite à la Réunion et je projette l’implantation d’un verger palissé dans une zone exposée aux embruns salins. Il me semble que l’inox serait le type de fil le plus approprié qu’en pensez-vous? Auriez-vous des fournisseurs à me conseiller?
Merci d’avance pour les conseils!
Bonjour Samuel
Le fil ou le cable en inox, c’est ce qu’il y a de mieux, surtout dans votre situation. Il vaut mieux chercher un fournisseur près de chez vous, à cause du transport. (sur les sites chinois, c’est le moins cher, faut voir avec le transport chez vous)
Bonne chance
Serge
bonjour .ou je peut trouver les attaches pour le fil
Bonjour,
voici le lien des attaches que j’utilise : https://www.triangle-outillage.fr/liens-etiquettes/3793-clip-drahthalter-1111111111111.html
Bonjour Mr,
Tout d’abord merci pour votre travail et votre exposer.
Habitant en région tropical humide j’aurais souhaité savoir si vous avez déjà entendu parlé du palissage sur arbres fruitiers tropicales, je recherche en vain des retours d’expériences ou des témoignages sur le web mais rien à présent.
Si vous connaissez des personnes, sites web ou autre je serais ravi d’en prendre connaissance.
Cordialement.
Bonjour Serge – et MERCI beaucoup pour toutes les détails dans votre site. Devant un mur qui nous appartient pas, je souhaite d’installer sur notre terrain une palissade d’une hauteur de 3-4 m, pour faire pousser des KIVIs, mais d’une façon que ces plantes ne s’accrochent pas sur ce mur de 8-9 m de haut.
Salut,
Quel travail phénoménal !
Ça me fait rêver. Après avoir terminé un contre-espalier de 6 plants de vigne et deux palmettes pomme et poire sur p g Nanisant, orienté nord/sud en bordure ouest du potager, je suis entrain de faire le palissage d’une haie fruitière de 5 pommiers espacés de 4 m du côté est.
Aux extrémités j’enfonce aux 3/4 et betonne un poteau en t de 1m, sur lequel je boulonne un autre de 2m, je les renforcé par une jambe inclinée scellée dans une platine de béton.
Sans le câble et la visserie, ça va me revenir à 150 euros, qu’en penses-tu ?