Présentation
Sur cette page, je veux vous présenter ce piège en inox très résistant, que j’utilise depuis plus de 15 ans. C’est le plus efficace des pièges pour campagnols et un très bon investissement pour la vie.
Ce piège Topcat distribué par Triangle, est un piège mécanique que l’on introduit dans un trou préalablement fait à la tarière. Le piège est placé à l’aplomb d’une galerie de façon à être traversé par le campagnol. Le déclenchement du piège au passage du rongeur est particulièrement sensible et permet même d’éliminer les jeunes individus.
C’est actuellement le piège le plus pratique et le plus utilisé, par les professionnels. Si sa pose est aisée et le déclenchement de la guillotine facile à percevoir. Des essais comparatifs ont montré la nette supériorité du piège Topcat, à la fois simple, fiable et au déclenchement extrêmement sensible (l’animal est tué sur le coup)
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Le campagnol terrestre
Dans de bonnes conditions (nourriture abondante, climat favorable, absence de concurrence, peu de prédateurs), les campagnols peuvent rapidement développer des populations importantes. Ce potentiel de reproduction élevé peut causer d’énormes dégâts dans les cultures agricoles, les vergers, les jardins privés ou les potagers bio et en permacultures.
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Description du campagnol terrestre
Nourriture : La forme fouisseuse se nourrit principalement de racines charnues de plantes choisies, de bulbes de fleur, etc. Par exemple : le pissenlit (tarraxum officinalis), plusieurs sortes de trèfle, plusieurs légumineuses, les racines de plusieurs arbres (entre autres, le pommier ) ou les bulbes de tulipe. Le campagnol terrestre se nourrit aussi parfois sur terre où il ronge alors toutes sortes de plantes.
Poids d’un adulte : De 60 à 110 g pour la forme fouisseuse, 60 à 200 g et plus pour la forme aquatique
Longueur du corps : De 12 à 20 cm maximum
Longueur de la queue : À peu près la moitié de la longueur du corps.
Forme du corps : Forme trapue, l’on ne distingue pas le cou de l’animal.
Tête : Le campagnols dispose de 4 incisives qui rappellent celle d’un castor. Elles sont longues et légèrement courbes. Elles ont un largueur de 1,5 mm chacune. Le nez est obtus. De grandes moustaches sont bien visibles. Elles ont approximativement la largeur du corps. Les oreilles sont cachées dans la fourrure.
Couleurs : Il existe une multitude de variations de couleurs, mais, en général, le dessus de l’animal est brun foncé, plus ou moins beige. Les flancs sont un peu plus clairs et le ventre est franchement clair. Il existe des souches de campagnols qui ont des taches noires plus ou moins grandes. Il arrive aussi de trouver des animaux complètement noirs. On trouve aussi des cas d’albinisme partiel.
Yeux : Les yeux sont bien visibles et noirs.
Pattes : Aussi bien les pattes avant que les pattes arrières sont très fines. Il arrive fréquemment que des ongles ou des phalanges manquent.
Reproduction : De fin janvier jusqu’à fin octobre. Bien souvent la reproduction se prolonge durant tout l’hiver, indépendamment du temps.
Nombre de nichées : En général de 4 à 6. Mais ce nombre peut fort varier.
Nombre de jeunes : De 4 à 6 en moyenne.
Gestation : 21 jours
Adultes : Sont en état de se reproduire dès le deuxième mois.
Densité : Pouvant atteindre 1000 à 1200 individus par hectare.
Hibernation : Inexistante !
Taupinières : De forme plutôt aplaties. La terre qui est refoulée est assez fine. La quantité peut être fort importante. Les taupinières sont de grandeurs différentes. La hauteur peut atteindre 25 cm.
Galeries : Les campagnols creusent leurs galeries à l’aide des dents. La coupe des galeries est de forme ovale haute. Le diamètre est de 55 à 80 mm. Les nids ont des dimensions beaucoup plus importantes. Sur les flancs des galeries, l’on peut observer la trace des dents des campagnols.
Longueur : Une famille de campagnols occupe 40 à 70 mètres de galeries selon la consistance du sol, la densité de la population et la nourriture disponible.
Nids : Un à trois nids bourrés de fines herbes sèches ou de mousses.
Réserves : Les campagnols construisent de grandes réserves de nourriture. De grandes cavités sont remplies de morceaux de racines qui sont disposées méticuleusement comme dans un silo souterrain. Parfois, au printemps, l’on trouve une telle réserve de racines merveilleusement conservées qui commencent à germer.
Durée de vie : Dans la nature, les campagnols ne vivent guère plus d’un an. En captivité cependant, ils peuvent vivre 4 à 5 ans.
Particularité : Le campagnols, qui vit presque exclusivement sous terre, rebouche très rapidement tout orifice fait dans ses galeries. Cette particularité permet de prouver avec une bonne fiabilité, si un terrier est occupé par des campagnols. Effectivement, si l’orifice creusé sur une galerie est refermé rapidement, il est très probable que des campagnols vivent dans la galerie. À noter, qu’il est possible qu’une taupe vive aussi dans cette galerie… Les campagnols creusent les galeries à l’aide de leurs incisives. Ils bourrent la terre dans tout interstice trouvé sous terre. Ils la refoulent aussi, s’il le faut, vers l’extérieur à l’aide de leurs pattes et de leur tête. Ils sont bon nageurs et plongeurs.
Dégâts causés : Les campagnols rongent une multitude de racines. Ils causent de gros dégâts en arboriculture fruitière. De par leur travail, ils contribuent à la réduction du nombre de plantes dans les prés et réduisent ainsi la quantité et la valeur nutritive des cultures. Les taupinières causent une forte augmentation de l’usure des outils de coupe. Le foin souillé par la terre est mal accepté par le bétail et il existe un risque important de mauvaise fermentation de la nourriture ilo. Cette nourriture de mauvaise qualité peut sensiblement réduire la production du lait et constitue un risque non-négligeable pour la santé du bétail. Une dépouille de campagnols dans une balle de silo présente un gros risque sanitaire pour le bétail.
Le piégeage du campagnol est fort simple. En respectant un minimum de précaution, il est possible, en une séance de piégeage, de réduire une population de 95 %.
Attention : Cet animal est vecteur de toute une liste de parasites et de maladies bactériennes et virales: l’échinococcose, la leptospirose ou le virus de Hanta pour n’en citer que quelques exemples. Ces parasites et ces maladies sont transmissibles à l’homme et causent de graves troubles. Il est à recommander de porter des gants pour toucher tout animal vivant ou mort.
(Description source Biocontrol)
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Le campagnol des champs
Les campagnols des champs sont des petits mammifères de 15 à 50 grammes, avec de grandes oreilles, de grands yeux noirs, une longue queue et un pelage beige et blanc. Contrairement aux campagnols terrestres, les mulots vivent une grande partie de leur existence à la surface du sol. Leur présence se remarque par les petits tumulus de terre qu’ils forment en creusant leurs galeries, mais aussi les nombreux trous sans tumulus et des petits chemins dans l’herbe (des sortes de »rigoles » d’un trou à l’autre).
Ils sont essentiellement herbivores. Ils se nourrissent d’herbe, de graines et parfois de petits insectes. Un mulot mange environ deux fois, son poids chaque jour. Les caractéristiques biologiques et sociales du mulot sont proches de celles du
campagnol terrestre. Son espérance de vie est de l’ordre de quelques mois à un an. Ils vivent en couple. Leur maturité sexuelle est atteinte à l’âge d’un mois. Leur gestation est de trois semaines environ. Ils se reproduisent généralement
de mars à octobre, et en hiver si la météo est favorable
Des dégâts de campagnol des champs peuvent être observés dans des cultures porte-graines, des prairies, des céréales ou encore des cultures potagères. Le campagnol des champs est potentiellement présent sur tout le territoire.
Seules des densités élevées de population entraînent des dégâts significatifs, notamment dans les foyers historiques : au-delà de 200 individus/ha, l’impact économique devient souvent conséquent, avec des variations selon les cultures et les stades. Les effectifs évoluent en lien avec la reproduction, avec un pic à l’été ou en début d’automne. Les variations interannuelles sont également importantes. Le pic de population, jusqu’à plus de 1 000 individus/ha, peut se maintenir deux ans et revenir tous les trois à cinq ans.
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Comment les reconnaître
Plusieurs espèces de petits rongeurs peuvent pénétrer dans le potager, dans le verger, les cultures fruitières, maraîchères ou céréales. Pour les campagnols, c’est essentiellement le couvert végétal qui assure une protection et des ressources alimentaires. Il convient donc d’être très attentif aux signes d’activité et aux traces laissées par ces petits mammifères, dans les cultures, au verger, au potager, .., pour identifier le rongeur.
II faut bien différencier la taupe du mulot. La taupe est avant tout insectivore, tandis que le mulot ou campagnol est avant tout végétarien.
La taupe noire et les campagnols sont les micro-mammifères le plus couramment rencontrés au verger. La taupe noire, bien qu’inoffensive pour les cultures, creuse des galeries et utilisées par les campagnols qui eux font des dégâts importants dans les vergers ou potagers.
C’est souvent les taupes qui creusent les galeries et les campagnols terrestres, qui en profitent pour s’y installer.
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Les dégâts des campagnols au verger
Lorsque le campagnol terrestre pénètre dans un verger, les dommages ne tardent pas à être commis. Principalement la mauvaise saison, il pèle, sectionne ou détruit totalement les racines dans la profondeur du sol. Certaines variétés de pommiers sont les plus touchées. Si les porte-greffes forts permettent aux arbres moins atteints de survivre quelque temps, ceux dont les racines sont anéanties sécherons dès le printemps. En sécurité sous la neige ou dans l’herbe haute, ce rongeur peut remonter jusqu’à la base du tronc et l’écorcer comme un campagnol des champs. Les dégâts se manifestent toujours avec un certain retard par rapport aux attaques.
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Les dégâts des campagnols dans les prairies.
Impact sur la production fourragère : baisse de la quantité (jusqu’à – 80 %) et de la qualité (disparition des légumineuses, augmentation des adventices) et présence de terre dans les fourrages, avec :
– Mauvaise conservation des fourrages
– Baisse de l’appétence des fourrages
– Problème vétérinaire liés à l’ingestion de terre
– Usure précoce du matériel de fauche
– Augmentation de la charge de travail (nettoyage des auges, entretien du matériel …)
– Impact sur la production laitière : altération de la qualité du lait (germes butyriques, listériose,…)
– Impact sur la santé de l’éleveur : échinococcose alvéolaire, poumon fermier, stress…
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Les dégâts du campagnol au potager et au jardin
Des feuilles de blettes, salades qui flétrissent ou de courgettes molles, couchées au sol, des poireaux, des carottes semblant avoir été aspirés par le sol ou l’absence de feuillage dans les rangs de pommes de terre rongées sont autant de signes annonçant la présence des campagnols. En maraîchage, les campagnols terrestres peuvent se mettre à manger tous les légumes à tubercule (patates, carottes, betteraves, navets, oignons, asperges…), les racines de légumes à feuille (blettes, laitues…), mais aussi les courges (ils sont capables de creuser des galeries qui ressortent juste sous la courge).
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Topcat – le meilleur piège à campagnols.
Une lutte active et précoce par le piégeage permet d’éviter beaucoup de dégâts. Le piégeage est un complément idéal aux mesures préventives contre les campagnols et ainsi qu’aux techniques de cultures adaptées. Le piège topcat est d’une qualité exceptionnelle et d’une efficacité dûment prouvée : c’est l’outil de choix pour la lutte ciblée contre les campagnols :
- Produit de haute qualité en acier inoxydable
- Sans danger pour l’utilisateur et l’environnement
- Utilisation très simple et mise en place rapide
- Fonctionnement dans les deux sens de la galerie
- Déclenchement très sensible
- Mort immédiate des campagnols
- Position de travail confortable, travail propre et hygiénique
Nettoyage et entretien très simple - Pour campagnols terrestres et campagnols des champs, taupes, souris et rats
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Où commander ce piège :
Voir le piège à taupes et a campagnols topcat.
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Le fonctionnement du piège Topcat en vidéo
Des essais comparatifs ont montré la nette supériorité du piège Topcat, à la fois simple, fiable et au déclenchement extrêmement sensible (l’animal est tué sur le coup).
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La mise en place du piège Topcat
✔ Il suffit d’un à deux pièges par terrier de campagnols. Contrôlez les pièges très fréquemment.
✔ Lorsqu’un piège a été bourré, on peut le replacer au même endroit après l’avoir vidé et avoir bien dégagé la galerie. Faites attention à ce que la terre soit refermée de manière hermétique autour du piège.
✔ La capture des campagnols des champs est bien plus aisée en utilisant un petit bout de pomme ou de carotte enfilé sur le déclencheur supérieur.
✔ La taupe (si la capture est autorisée) est difficile à capturer parce qu’elle vit solitaire dans ses galeries étendues 100 – 250 mètres).
Donc armez-vous de patience !
✔ La taupe et les campagnols disposent d’un odorat extraordinaire mais ne craignent pas l’odeur de l’être humain. Ils n’apprécient pourtant pas les odeurs étranges telles que les détergents, le fumier, ou les parfums. S’ils détectent une telle odeur, le piège sera bien vite bourré. Nettoyez les pièges qui sont bourrés régulièrement à l’aide d’eau bouillante. Stockez vos pièges à un endroit sans odeurs.
✔ Vous pouvez optimiser votre travail de taupier en notant scrupuleusement toute capture : lieu, jour, heure, animal capturé.
Sachez que :
• Les campagnols terrestres vivent en famille : mâle, une ou deux femelles, et de quatre à cinq jeunes par terrier.
• Les campagnols des champs vivent plutôt en groupe. Il n’est pas rare de capturer plus d’une douzaine d’individus au même endroit.
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La pose de piège Topcat en vidéo
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Le piégeage des campagnols terrestre
En cas de présence du campagnol terrestre (cf. méthode d’évaluation en dernière page), la lutte par piégeage doit être mise en place dès la détection des premiers foyers, la maîtrise des populations étant d’autant plus difficile si celles-ci sont élevées. Diminution directe du nombre de campagnols présents, avec connaissance du nombre d’individus capturés. Avec le piège Topcat, la lutte contre le campagnol, par piégeage est très facile à mettre en place, comme vous pouvez le voir ci-dessous.
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Le piégeage des campagnols des champs.
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Le piégeage professionnels
Devant la prolifération sans cesse croissante dans certaines régions et les dégâts occasionnés par les campagnols et mulots aux différentes Cultures…
… Des Professionnels Agréés par EIFTRN (école internationale de formation de taupier et régulateur des nuisibles) se sont regroupés pour vous apporter une solution efficace et durable dans la lutte contre les Campagnols – Rats Taupiers par un procédé écologique et sans danger pour l’environnement
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Autres utilisations du piège Topcat
J’utilise également ce piège, contre les taupes, les souris, les mulots, les rats, … car il est très polyvalent et très facile d’utilisation.
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Contre les taupes
Les taupes qu’il faut éliminer de suite dès leurs installation dans le verger ou le potager. C’est en général les taupes qui creusent les galeries et les campagnols terrestres qui en profitent, car elle n’aiment pas creuser. La technique de piégeage de la taupe est la même que le campagnol terrestre.
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Contre les souris et les rats
Tout comme pour les souris, les rats peuvent contaminer nos aliments avec leur urine et leurs déjections. Selon certaines estimations, les rats mangeraient, gâteraient ou détruiraient 1/5 de la production mondiale de denrées alimentaires. 15 000 personnes seraient, chaque année mordues par des rats, ce qui provoquerait nombre de maladies comme la peste bubonique, la salmonellose, la leptospirose, l’hantavirus et la tularémie.
Si votre maison est déjà envahie par les rats, n’hésitez pas à utiliser ce piège Topcat à l’extérieur comme à l’intérieur. Ayez à l’idée que les rats ont toujours les mêmes habitudes. Ils empruntent toujours les mêmes chemins. Vous aurez donc un plus grand succès si vous placez les pièges le long de ces « autoroutes » à rat. Recherchez des signes d’activité des rats et des souris qui pourraient indiquer un chemin fréquemment utilisé, tel que des marques de morsures, des excréments ou des trous dans le mur. En plaçant plusieurs pièges le long de cette route, vous allez augmenter votre nombre de captures et éliminer votre infestation plus rapidement.
Les rats et les souris aiment les espaces clos. Placer les pièges dans une boîte de carton ou un tunnel pour les attirer dedans. Cela permettra également d’éviter à vos autres animaux domestiques de déclencher les pièges accidentellement.
Il suffit de mettre des appâts : graines pour lapin, pommes, carottes et surtout le chocolat, le bacon, le beurre d’arachides…, pour le placer là ou vous avez constaté leurs présence.
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La lutte préventive contre les campagnols
La problématique du campagnol est d’origine « multifactorielle » et il n’existe pas une réponse unique qui permettrait d’éliminer ce ravageur une fois pour toutes. C’est en associant des moyens de lutte complémentaires (de type direct et indirect) que l’on peut arriver, à terme, à réduire l’impact du campagnol terrestre sur les exploitations agricoles, vergers et potagers,…
Les principaux prédateurs du campagnol sont : les carnivores terrestres : renard roux, chat sauvage, chat et chien domestique, fouine, belette, hermine, martre, blaireau, putois … Pour les carnivores, la mise en place de zones de refuge (bosquets) et de corridors (haies, murets, talus) favorise leur présence et leurs déplacements sur le verger.
Les rapaces : milan noir, milan royal, buse variable, effraie des clochers, hiboux moyens et grands-ducs, chouettes hulotte …
Un renard adulte peut tuer à lui seul une vingtaine de campagnols par jour
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Installation de perchoirs et nichoirs à rapaces.
Dès la plantation, surveiller attentivement et intervenir dès les premiers signes d’activité ou de dégâts sans omettre les arbres des alentours apparemment encore sains. Pour cela, on peut favoriser des prédateurs de ce rongeur et aider la prédation des buses et faucons par la mise en place de perchoirs à rapaces.
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La protection des racines des arbres
Pour des arbres isolés, il est possible de protéger le système radiculaire avec une corbeille en treillis en prenant soin de bien remonter les bords autour du tronc. Ceci est valable pour la plantation de petits arbres fruitiers, en zone infectée par les campagnols, ou dans les zones à risques, comme les vergers sans entretien et les vergers en permaculture.
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Travail du sol et tonte régulière
Le travail du sol, avec notamment le binage et le désherbage des lignes de fruitiers est une mesure de lutte préventive hautement efficace. La présence d’une couverture végétale sur le sol, comme un paillis ou des touffes herbeuses denses et hautes, est a éviter surtout en hiver.
Un autre moyen de lutte contre ces ravageurs consiste à entretenir les zones herbacées en bord de champ, les fossés et les haies. Ces endroits sont susceptibles d’abriter ces rongeurs et de favoriser leur reproduction.
La hauteur de l’herbe devrait être de 8 à 10 cm au maximum à l’entrée de l’hiver :
– Évité les gardes mangers
– Diminue la couche isolante
– Favorise la prédation.
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A éviter pour ne pas attirer les campagnols
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Avoir un bon chat contre les campagnols, souris, rats,…
Laissez votre chat rôder dans votre jardin afin que mère nature fasse son travail. Les chats chassent naturellement les rongeurs et sont assez efficaces à ce petit jeu, toutefois, ils risquent de vous ramener des campagnols aussi bien morts que vifs.
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Commander ce piège :
Le site de vente du piège à taupes et a campagnols topcat
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